Voyage sophrologique au bloc opératoire

Comme à chaque fois que je me promenais sur ce chemin, la nature était éclatante et tendre à la fois. L’air était bon, printanier. J’arrivais apaisée devant le champ plongeant sur les collines et m’asseyais confortablement sur son tapis de fleurs sauvages. Je m’adossais contre le tronc puissant du chêne qui régnait majestueusement sur la nature environnante.

Mon corps se détendit instantanément à son contact. Je frémissais et soupirais agréablement en passant délicatement ma main dans l’herbe épaisse, dont les brins, d’un vert vif et brillant, humidifièrent mes doigts.

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